La meilleure exhibition sexuelle de ma vie

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Mon récit commence il y a longtemps.J’étais alors en classe de seconde, j’avais 18 ans.C’était la fin de l’année scolaire, les derniers examens décisifs allaient avoir lieu, mais pour moi, ce n’était pas un problème.
J’ai toujours bien travaillé à l’école, je suivais bien la matière.J’allais donc passer le dernier examen écrit, décisif pour l’admission au baccalauréat ou pour l’obtention d’un diplôme de 10ème année. En fait, il y avait une sérénité générale, sauf pour quelques exceptions.L’une de ces exceptions s’appelle Nancy, je la trouve en fait assez belle depuis longtemps.

Nous sommes déjà partis plusieurs fois ensemble, mais seulement en tant que bons amis, et nous nous sommes quand même bien amusés.Mais maintenant, c’était l’examen, comme par hasard, elle était assise à côté de moi sur un banc.
J’ai trouvé les épreuves tout à fait correctes, d’emblée, avec un 2 moins, cela suffisait facilement pour être admis au baccalauréat. Mais avec Nancy, j’ai tout de suite remarqué qu’elle n’avait aucune idée de la matière, elle se balançait nerveusement sur sa chaise.Elle a donc dû recourir à des moyens illégaux, elle a essayé de sortir discrètement une antisèche de sa manche.

Mais ce n’était pas facile, les professeurs ne se laissent pas distraire et font très attention. Elle y parvint tout de même, mais elle n’avait pas l’air très heureuse. Tout n’était pas écrit sur sa fiche.

Soudain, le professeur est arrivé, d’une frayeur tiède, le papier est tombé de son banc. Que faire maintenant ?J’ai réagi à la vitesse de l’éclair et j’ai posé mon pied dessus, le papier n’était pas visible.

Coup de chance, le soulagement était visible sur son visage. Plus tard, j’ai remarqué qu’elle passait son temps à copier sur ma feuille.J’espère que personne ne le voit, sinon je vais me faire avoir aussi. Mais tout s’est bien passé, nous avons pu rendre nos feuilles, personne n’a remarqué quoi que ce soit.

Cela a suffi pour Nancy, elle a aussi été admise grâce à moi.Bien sûr, je m’attendais à des remerciements de sa part, mais il n’y a pas eu de réaction, ce qui m’a mis assez en colère. J’ai donc réfléchi à la manière dont je pourrais profiter de cette situation, elle avait une dette envers moi.

Je l’ai rencontrée l’après-midi, je lui ai tout raconté. Tout à coup, elle s’est faite toute petite, elle m’a supplié de ne pas la trahir.

Qu’est-ce que ça valait pour elle ?Elle était au bord des larmes quand je lui ai dit que je voulais avoir l’autorité sur elle.J’ai rapidement rédigé un petit contrat qu’elle devait signer. Il stipule qu’elle doit satisfaire tous mes désirs sans exception. Elle devient pratiquement mon esclave.

Quand elle a lu cela, elle s’est mise à pleurer.Mais que lui restait-il à faire : un an sous mon contrôle ou pas de baccalauréat parce que je ferais un rapport sur son antisèche.Elle a donc dû se soumettre à moi, et c’est avec hésitation qu’elle a signé. Ce qui veut dire qu’elle doit se soumettre à moi pendant 1 an.
Elle doit faire tout ce que je lui dis, elle sera humiliée par moi. Elle souffrira, sa vie changera, et ce selon mes règles. Revenons à Nancy, elle a 16 ans, elle est mince et a une belle petite silhouette gracile. De longs cheveux bruns, coupés court, que demander de plus ?

J’avais du mal à y croire, je l’avais sous ma coupe. Je l’ai d’abord renvoyée chez elle pour qu’elle accepte la situation.
Aujourd’hui, c’était samedi, je lui ai demandé de venir tôt.Il est temps de clarifier les règles.Elle doit faire tout ce que je lui demande, je ne veux pas entendre de « non ».
En public, elle doit se faire passer pour mon amie, nous sommes un couple.Si elle suit ces règles simples, elle peut passer son bac. Nous commençons donc par la première leçon, elle doit s’habituer à être nue.Elle a dû se mettre devant moi et se déshabiller très lentement.

Elle était belle, tellement impuissante. Elle a enlevé mon t-shirt, un beau soutien-gorge est apparu.Ni trop grand, ni trop petit, exactement comme je l’aime.Elle tremblait et avait des problèmes avec son bouton de pantalon.
Je l’ai donc aidée et ai retiré son pantalon.Elle avait un string noir en dessous, merveilleux. Elle se tenait maintenant devant moi en sous-vêtements, je l’ai attirée contre moi et lui ai donné un long baiser, elle était encore très inexpérimentée, elle n’avait jamais eu affaire à des garçons.Je pouvais l’initier aux secrets de la vie sexuelle.

Je l’ai renvoyée chez elle pour ne pas la surmener tout de suite.

Le lendemain, je suis allé la chercher et nous sommes allés dans le jardin de mes parents. Là, nous pouvions être seuls et non surveillés. Lorsque nous sommes arrivés, elle est descendue de vélo et je lui ai bandé les yeux avec une belle écharpe en soie.Elle a eu peur, mais je l’ai rassurée.

Nous n’en étions qu’au début de notre formation d’esclaves sexuelles.Maintenant, il fallait à nouveau se déshabiller, et je dois avouer que cela m’excitait beaucoup. Elle était gênée parce qu’elle ne pouvait pas voir que nous étions seules.Elle se tenait à nouveau devant moi en soutien-gorge et string, étape suivante : nudité totale.
Alors j’ai enlevé mes vêtements.J’ai défait mon soutien-gorge et baissé mon string.Dans mon pantalon, quelque chose commençait à bouger. Pas étonnant à la vue de ce spectacle ! Un joli vagin de vierge est apparu, pas très dur.

Elle a ensuite été attachée dans le dos avec des menottes.

Couche-toi par terre, lui dis-je, je me suis assis sur elle et je l’ai embrassée.Lentement, Nancy s’est habituée à la situation.Je lui ai posé encore quelques questions sur sa vie Elle ne s’est jamais masturbée et n’a jamais vu un homme nu, bref, zéro expérience, même si son corps était déjà bien développé. Elle a reçu une éducation très stricte de la part de ses parents.

La journée était terminée, je ne l’avais pas encore touchée.Demain, elle devait aller chez le gynécologue et se faire prescrire la pilule pour éviter de tomber enceinte.Cela ne lui plaisait pas du tout, mais c’était tout simplement nécessaire. Au bout de deux semaines, elle n’avait plus de problème avec la nudité, elle portait des jupes courtes et des petits hauts, elle m’excitait vraiment.

J’en voulais plus, beaucoup plus, et j’ai décidé de lui faire subir un traitement complet le week-end suivant.Jusqu’à présent, j’avais été gentil avec elle, jusqu’à maintenant ! Je l’ai convoquée dans l’appartement bien équipé d’un ami pour le week-end suivant.

Il me l’a gentiment confiée.Ses yeux étaient à nouveau bandés lorsqu’elle s’est allongée devant moi, menottée au lit. Je me suis occupé de son corps pour la première fois, elle a tressailli plusieurs fois lorsque je l’ai touchée à différents endroits.

Elle est belle, elle avait une odeur particulière.J’ai découpé son string et j’ai joué avec sa fente qui commençait déjà à être légèrement humide. Je lui ai dit qu’elle devait simplement profiter de tout et qu’elle pouvait oublier la peur.Je n’ai pas pu m’en empêcher et j’ai dû la lécher, c’était délicieux, si jeune et si vierge.
Le plaisir à l’état pur. Je me suis aussi déshabillé, j’étais complètement bandé.Nancy devait me soulager, elle devait apprendre à sucer.
On l’a détachée, je me suis allongé et je l’ai tirée avec sa tête au-dessus de ma matraque raide.Je l’ai mis dans sa bouche.
Sans se soucier des conséquences.Avec mes instructions, ça marchait déjà bien, ses haut-le-cœur s’atténuaient. Elle a commencé à jouer avec sa langue, elle apprenait vite ! C’était une sensation excitante, au bout d’un moment je devenais de plus en plus excité. Puis j’ai dû éjaculer, elle a eu peur.

Mais très gentiment, elle a dû tout avaler et le lécher ensuite proprement.J’étais maintenant détendu et heureux, et elle a dit qu’elle commençait à prendre plaisir à me gâter.Elle devait d’abord préparer quelque chose à boire et à manger. Elle m’a nourri de son plein gré.

Dans la pièce voisine, il y avait une chaise gynécologique comme chez le gynécologue.
Elle a dû grimper dessus, ses bras et ses jambes ont été attachés avec des sangles.Elle était maintenant ouverte à moi. Je pouvais voir tous les détails de sa chatte, qui redevenait rapidement humide.Je l’ai donc pénétrée, elle a crié.

Mais j’ai tout de suite commencé à bouger violemment, grâce à la position confortable, sa douleur a vite disparu, elle a commencé à gémir. J’étais maintenant très endurant, elle se tordait dans ses liens.Mais avant qu’elle ne puisse jouir, j’étais prêt à éjaculer en elle. Son excitation lui a fait oublier toutes ses inhibitions, elle voulait recommencer tout de suite.

Elle m’a littéralement suppliée.En tant que maître, je ne pouvais pas la laisser faire et je l’ai détachée. Elle a été attachée au mur avec des chaînes, je suis allé chercher un fouet.Elle est devenue toute pâle lorsque je lui ai demandé de compter jusqu’à 20.

Elle criait à chaque coup, mais elle comptait courageusement.

En récompense, elle a pu m’accompagner au bain. Elle a été menottée dans la baignoire, les yeux bandés. Je me suis placé au-dessus d’elle et j’ai laissé libre cours à mon jet.D’abord au-dessus de sa tête, je l’ai forcée à avaler quelque chose, puis sur tout son corps.

Je crois qu’elle n’a pas trouvé ça très agréable, mais ça m’était égal.J’étais soulagé. Je l’ai douchée à l’eau froide et l’ai laissée aller aux toilettes. Ensuite, j’ai bu à nouveau et j’ai reçu quelques coups de fouet.

J’ai pris des pinces métalliques et les ai placées sur ses mamelons, ce qui a provoqué un grand cri.Je ne pouvais pas laisser passer ça. Elle a été attachée sur le ventre sur le lit et des coussins ont été placés sous ses genoux.

Comme punition, je voulais déjà la pénétrer par derrière.Mais son trou était extrêmement petit, aucune chance.

Même avec beaucoup de lubrifiant. Je l’ai donc étiré avec mes doigts. Mais ça ne servait à rien, il y avait encore beaucoup à étirer. Elle allait mourir de douleur.
Je l’ai donc prise par derrière, sa chatte aussi était encore extrêmement étroite mais totalement humide. Elle gémissait de plus en plus fort et a atteint le premier orgasme de sa vie, j’ai senti beaucoup de liquide, je n’en avais encore jamais vu autant.J’ai joui en elle quelques secondes plus tard.

Il était déjà assez tard et j’étais fatigué.Elle a dû passer la nuit sur la chaise gynécologique, ce n’était pas très confortable.
J’ai dormi dans le lit en toute décontraction.Je l’ai réveillée en lui donnant des coups sur le ventre, elle hurlait de douleur.Nous sommes retournés dans la salle de bain, je me suis à nouveau soulagé.A contrecœur, elle a dû essayer d’avaler toute ma pisse.
Ça coulait le long de sa bouche, un spectacle génial.Elle a pu se doucher, il y avait le petit déjeuner.Il faisait super chaud dehors, j’ai décidé de l’emmener sur un lac isolé.Il n’y avait pas beaucoup de monde, juste quelques retraités.
Nous sommes allés dans un endroit isolé où nous étions seuls. Nous nous sommes baignés nus, nous avons fait les fous dans l’eau et nous nous sommes taquinés.J’étais à nouveau excité par elle et nous avons fait ça dans l’eau.C’était une sensation merveilleuse, elle aussi y prenait plaisir.

J’ai joui, mais pas elle. Nous nous sommes allongés au soleil.
J’ai remarqué un grand-père qui nous regardait, il nous observait.Nancy a dû aller le voir et lui demander l’heure, elle était gênée de se promener nue.Les yeux du grand-père sont vite tombés quand il a vu ma petite soumise.

Il n’avait pas de montre, il était bien trop excité pour la trouver. Je lui ai demandé si elle voulait avoir un orgasme, elle a répondu par l’affirmative.OK, lui dis-je, satisfait-toi toi-même.Elle n’avait jamais fait ça auparavant, et en public.

Très timidement, elle a commencé à se caresser jusqu’à ce que tout lui soit égal et qu’elle se frotte sauvagement la chatte. Le grand-père est parti, qui sait ce qu’il fait maintenant ?Juste avant son orgasme, je l’ai arrêtée, elle était furieuse.

Nous sommes retournés brièvement dans l’eau, puis nous sommes rentrés à l’appartement.Elle était toujours excitée, moi aussi. Dans le garage à vélos, je l’ai attrapée entre les jambes, où elle ne portait rien sous sa jupe sur mon ordre, elle était encore totalement humide.

Je l’ai déshabillée, elle pensait qu’on allait le faire maintenant, mais c’était raté. Je crois qu’elle a oublié qu’elle devait faire ce que je lui disais.Elle a dû courir nue dans les escaliers jusqu’au quatrième étage, mais elle s’est mise à râler, c’était une punition.
Nous n’avons rencontré personne, heureusement pour elle.Elle a pu aller une nouvelle fois aux toilettes, puis a été allongée sur le chevalet de punition. Yeux bandés et bâillon dans la bouche, je suis allé chercher un fouet. J’ai frappé son cul pendant cinq minutes, il était tout rouge.

J’ai écarté ses jambes et écarté ses lèvres.Des pinces avec des poids ont été accrochées à celles-ci pendant une minute.Cela a dû faire un mal de chien, il y avait des larmes dans ses yeux.

La délivrance a suivi, je l’ai calmée en la caressant et en la léchant.Elle a recommencé à mouiller, et cette fois, elle a dû me chevaucher.
Maintenant, c’était elle l’active, je pouvais la pénétrer vraiment profondément malgré l’étroitesse. Et enfin, elle a eu l’orgasme qu’elle souhaitait, et elle a dû la remercier en la suçant.Tout était avalé volontairement, elle apprenait vite.Elle était heureuse, ses douleurs et ses tourments étaient oubliés.

Comme le week-end touchait à sa fin, il était temps de quitter l’appartement, mais j’avais encore une surprise. Je lui ai mis une ceinture de chasteté extrêmement fine et discrète.Elle a eu peur, mais pas moyen, je l’avais ainsi toujours sous contrôle. Elle ne pouvait avoir de relations sexuelles qu’avec ma permission.

Et c’est ainsi que notre premier week-end s’est terminé.Elle m’a dit qu’elle avait aimé ça malgré la douleur et qu’elle était prête à tout à tout moment. De plus, à partir d’aujourd’hui, elle n’avait plus le droit de porter de sous-vêtements, elle ne pouvait plus se toucher la chatte et n’était plus vierge.
Des rapports sur d’autres expériences avec Nancy suivront certainement ! Merci d’envoyer vos compliments, critiques et réactions à : J’en serais très heureux !

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